Les discothèques en France

Mai 2014

Alors, on danse : où et comment ?

Etude publiée en mai 2014 par la Sacem.

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Cartographie

2 000 à 2 200 discothèques en France.
Une répartition plus dense en Bretagne, Aquitaine et Rhône-Alpes avec 1 discothèque pour 25 000 habitants (ou moins).
L’Ile-de-France compte un nombre important d’établissements (171) mais fait partie des régions les moins denses (1 discothèque pour 50 000 habitants).

Trois grandes typologies :
- Les plus récentes pouvant accueillir plus de 1 000 personnes, véritables centres de loisirs nocturnes (plusieurs pistes de danse, restaurant, karaoké…) : 7% des établissements
- Les plus nombreuses pouvant accueillir entre 200 et 1 000 personnes : 62% des établissements.
- Les plus spécialisées, moins de 200 personnes, à l’activité soit saisonnière, soit jouant la carte d’une clientèle ciblée : 31% des établissements.

Un poids économique

Avec un chiffre d’affaires compris entre 900 millions et 1 milliard d’euros, les discothèques représentent plus que les concerts et spectacles de musiques actuelles.
Si la moyenne du chiffre d’affaires des discothèques est de 440 000 euros, pour la moitié d’entre elles, celui-ci ne dépasse pas 300 000 euros.

Un facteur de dynamisme des territoires

Un des piliers du secteur musical, les discothèques sont source de revenus et de prescription pour les auteurs, compositeurs et éditeurs, elles favorisent :
> La diversité : en 2013, 18 920 auteurs compositeurs et éditeurs de France et du monde entier ont reçu des droits de la Sacem pour la diffusion de leurs oeuvres en discothèques.
> La vitalité : en 2013, 64% des 50 titres les plus diffusés en discothèques en 2013 ont moins de 4 ans.
> La variété : en 2013, plus de 21 000 oeuvres françaises et internationales dans tous les genres musicaux (dance, électro, disco, variété, latino…) ont bénéficié de droits d’auteur.

Intégralité de l'étude à consulter ici.

Publié le 05 mai 2014